[HS]

Florian a écrit:

"On va eclater leur race !"

Cria Florian sûr de Lui

Cela apporte quoi au RPG? [fin HS]

l'interrogatoirede Daniel ne fut pas long mais les Baal warrior n'apprirent pas grand chose à son sujet à l'exception des noms et prénom de tout les lyokoguerriers ce qui semblait être déjà suffisant.

[hrp: Je crois que mon pc à des bug... Quand j'ai posté les messages n'était pas encore là... Mon réseau doit merder grave...]



Daniel faisait les 100 pas dans la cellule où il se trouvait, il semblait énervé, il aurait probablement tabassé la première personne entrant dans la salle sans être armée. A un moment, il se jetât en direction de la porte et la frappa avec ses deux bras en hurlant.

Qu'est ce que vous me voulez? Pourquoi vous vous en prenez à nous? On veux juste protéger les gens qui nous entoure!!!

Un des soldat gardant la porte lui dit de se taire et Daniel se mit à hurler de plus en plus fort, insultant les soldats de tous les nom. Ce dernier rentrât dans la salle et Daniel le frappa au visage et sortit en courant, le second soldat lui tira dans la jambes et il tombât. Les soldat le remirent en cellule sans même prendre la peine d'appeler un infirmier. Le soldat qui l'avait assommé

Garde: Ça fait mal hein. Le soldat appuya sur la blessure. Tu va rester là et tans pis si on doit t'amputer à cause d'une infection.

Daniel attrapa l'arme du soldat à sa ceinture et lui tira une balle dans le pied, puis une autre dans le genoux de l'autre soldat

Daniel: Je crois que les risque d'infection viennent de baisser d'un coup. Il avait un sourire en coin, masquant difficilement la douleur. Un garde prit sa radio:

Garde: Envoyé nous un infirmier, je suis blessé.

Daniel se releva tant bien que mal le dos appuyé au mur et visât le soldat qui avait appuyé sur sa blessure vers la tête. Le canon de l'arme se trouvant juste face à ses yeux.

Daniel: J'espère pour toi que tes supérieur vont devoirs me relâcher si tu ne veux pas finir avec le cerveaux sur le planché.

Le soldat semblait effrayé, comment un simple étudiant pouvait-il l'avoir désarmé et le menacer de cette manière sans le moindre signe d'hésitation.

Daniel: Je veux, un moyen de quitter cet endroit, et pas de façon virtuelle...Je me doute bien que passer par votre monde virtuelle ne me permettra pas de m'échapper...

Le garde avec la radio appela également les officiers afin de leurs expliquer la situation.

Le colonel arriva.

Que ce passe-t-il ici?

Le prisonnier a voulu s'échapper mais nous l'avons retenu.

hein mais je suis en position de force.cria Daniel. Je demande des soin convenable et un moyen de transport pour l'Europe.

Vous n'êtes pas en mesure de négocier jeune VSS vous êtes blessé et n'avez plus que douze cartouche et nous sommes des milliers dans cette base. Vous serez certes soigné et les gardes qui vous ont infliger ces blessures seront puni pour avoir contre venu à mes ordres, mais vous n'aurez pas de moyen de transport vers le monde extérieur vu qu'il n'en existe aucun dans cette base.

Se tournant vers le soldat blessé.

Carter tel est votre punition. Vous escorterez le jeune VSS jusqu'a la section biologie de l'aile du DSO (defense sciences offices) et veillerez à ce qu'aucune blessure supplémentaire ne lui soit faite. si jamais cela arrive vous le payerez de votre vie, cela est-il claire.

-Sir Yes Sir fit il en contenant sa douleur.

-quand à Vous jeunes VSS, j'espère que vous ne tenterez pas de telle folie à nouveau car si un de mes soldat se fait blesser ou tuer de votre faute votre vie tombera aussi rapidement. comme le désert nous entoure je pense que je peux vus laisser la liberté de vos mouvement au sein de cette base si vous me remettez cette arme et prometez de rester calme et si vous êtes coopératif nous pourrons même vous permettre d'aller sur Baal.

mais pour lemoment veulliez bien suivre le soldat Carter.

Sur le chemin de l'infirmerie

Daniel: Alors Carter, c'est bien Carter?Qu'est ce que vous fabriquez ici, c'est encore un projet top secret américain et je suis dans la zone 51.

Dit il avec un soupçon d'ironie dans la voix.

Carter: Je ne suis pas habilité à vous répondre

Daniel: J'aurais peut être du vous demander ça quand je vous tenez enjous. Ces crétin de militaires, toujours occupé à causer des ennui partout où il vont. Vous n'êtes que des idiot suivant des ordres stupide et défendant un idéal surréaliste... Enfin pour ce que l'on peut encore appeler surréaliste...

Le soldat ne répondit pas, mais avez l'air d'avoir envie de se défouler sur Daniel.

Daniel: Vous voyez à quel point c'est stupide de devoir suivre les ordres... Si vous n'aviez pas un flingue, je crois que je vous aurrez déjà cogné dessus pour vous faire dire ce que je veux savoir...

Voyant que le soldat ne réagissais toujours pas, Daniel laissa tomber.

ils arrivèrent dans le centre de recherche médical du département du "DSO" (le DSO existe dans la vie réel comme la Darpa). là bas Carter et Daniel furent soigné par des moyens plus que moderne.

de leurs côté les lyokguerriers, se concertaient. le meilleur moyen de sauver Daniel est le retour vers le passé.

Jeremy en programma donc un.

"retour vers le Passé"

le flash partit du supercalculateur.

Dans la base carthage.

-On a une variation du potentiel énergétique.

-lancer les contre-mesures. lanca le Colonel. (comme s'il était encore en service dansun sous-marin de classe "Alpha".)

-Inhibiteur, engagé. déclara Hardmann.

le flash ralentit, passa au dessus de Washington, et s'arrêta et dans un grand tremblement revint à l'usine par manque d'énergie

les lyoko-guerriers furent surpris d'être de retour dans l'usine.

dans la command room de la darpa, se fut la liesse quand le retour vers le passé fut annulé.

de son côté Hardmann travaillait pour quantifier les dégats causé par le tremblement de terre. un raz de marée par-ci,une éruption par là, par chance seulement 120 personnes moururent. (Cela aurait pu être pire car de nombreux building furent décrété insalubre après.).

kritos dit: Il y a quelque chose de pas normal je reviens tout de suite.
Jeremie demanda: Tu vas ou?
kritos li repondit: Je vais chercher une chose a ma chambre sa peut etre utile si on veut se retrouvé Daniel.
Sur ses mots kritos partit.
Sur son chemin de retour a sa chambre kritos entendit quelque chose ou quelqu'un. Hervé!! kritos se cacha Hervé passa vers lui et kritos lui donna un coup sur la tête assez fort pour que Hervé perde ses connaissance.
Quesqu'il lui a prit de venir ici?-Murmura kritos.
kritos retourna a l'ecole avec Hervé sur son dos.
Une fois a l'ecole kritos Hervé pres un arbre et le possicionna comme s'il avait tombé une haute branche puis il courut vers sa chambre.
il prit son ordinateur et redescendit il passa devant l'arbre une foule était au tour d'Hervé qui avait toujour pas reprit connaissance.
kritos arriva a l'usine esouflé il tendit l'ordi vers jeremi et dit:Branche le sur le SC et ouvre le programme appelé Satelite_controlleur. Puis lance une recherche sur les mot cles saut tempotrel.
Jeremie le fit avec une mine de mefiance et d'etonement.
Quelques minutes plus tard la recherche fut finit.
Sur l'ecran il y avait ecrit: 2 resultat 1er en france et le 2eme en Baltimore.
Et voila clique sur Baltimore et toutes les info seront dites sur ce lieu et ce saut temporel.

Etant toujours là il suivi la conversation. Il trouvait l'histoire intérésante mais avait des points qu'il n'avait pas conpris si c'était réel ou non?
shin :cette histoire est marante mais ou est Daniel? est c'est quoi votre histoire de militaire? à qui appartien cette usine? est ce que c'est un monde virtuel? coment ce fait il quant on nait dans la mer numérique qu'on ne puis plus revenir dans notre monde ?Vous pouvez m'expliquer?

Hervé avait été transféré à l'infirmerie.
Hervé : Madame ! Y'avait Nicolas avec moi, pourquoi il n'est pas ici ?
Yolande : Quoi ? On ne me l'avait pas dit ! Je vais le chercher tout de suite.
Hervé ouvrit la fenêtre et sorti. Il couru vers l'ermitage mais, mal réveillé, se prit les pieds dans une racine.

Il réalisa alors que Kritos devait être sur Lyoko, et qu'il ne pouvait donc pas y aller lui !
Il est peut-être plus fort que moi, mais je suis plus intelligent que lui !

Hervé fit demi-tour et rentra dans la chambre de Jérémie.
Voyons si je peut me connecter au Lyoko d'ici.

Tout en pianotant, il marmonnait :
Je vais leur montrer, à Kritos, Daniel, William, Florian, Odd, Yumi, et Ulrich, et Jérémie, que c'est MOI le plus intelligent. Et à Sissi aussi, à Sissi surtout.

Lieutnant Karsov, nous avons deux nouvelle recrue, Marie Aatsumi et Fergusson Humboldt. faite qu'ils puissent avoir accès au monde vituel assez rapidement. déclara le colonel Jefries

ce sera fait mon colonel. fit Le lieutnant en même temps qu'il fit le salut Militaire.

après avoir voyagé dans les long couloir de la base et être descendu de trois étage, ils arrivèrent dans le coeur des coeurs de la base,la salle de commande du monde virtuel.

plusieurs rangées d'ordinateurs y encerclait un holographe représentant montrant le monde virtuel Baal. quatre territoire formant un algiz Merkstave (rune scandinave ressemblant au symbole de xana sans les cercles). un territoire désert, un territoire montagneux et un territoire à la végétation dense, d'un côté, une chapelet d'île de l'autre,et au centre une forteresse ceinte de trois mur, "Carthage" lui-même.

Voici notre camps d'entrainement, le monde virtuel Baal. déclara Le lieutnant. Sur ce monde, la mort n'existe pas, ce qui renforce la volonté de dépassement de chaque soldat. Pour accéder aux mondes virtuel vous devrez vous faire analyser par l'ordinateur principal, nous avons des scanners à cet effet. Ces scanners sont dans la S room que vous pouvez accèder par le couloir ce trouvant là-bas.dit karsov en montrant un large couloir le trouvant sur la droite des postes de contrôle.

Le sergent Hardmann que vous voyez là-bas et le scientifique Martens seront ceux qui vous guiderons quand vous serez sur Baal.

Vous avez des question.demanda le lieutnant karsov après avoir sortit la tirade connue sous le nom de "tirade des nouveaux".

les deux nouveauxfurent tellement sidéré par tout ce qui les entouraient qu'ils n'osaient poser de question.

Le Skid arriva devant la tour, et tous les LyokoGuerriers furent translatés dans la "S Room" !

Je détecte énormément d'énergie à votre gauche, allez-y !

Mais qu'est-ce? fit un homme face aux écran de contrôle. c'est impossible.

Il y avait de quoi croire à l'impossible.en effet sur ses écran venaient d'apparaitre les lyokoguerriers. Il se pressa d'appeler les gardes de cette section.

allo les gardes du PC (Poste de Commandement,autre nom de la command room) j'ai des intrus étrangement vétu dans la S room, pouvez vous vous y rendre sans trop de vacarme,j'ai pas envie d'alarmer toute la base, mais faites attention ils possèdent des armes blanches.

pendant ce temps là,le colonel et le lieutenant indiquaient les quartiers des deux nouvelles recrues.

- comme nous sommes bien fournis en piece et en lit, j'ai pensé qu'en vous offrant des chambres de sous oficier vous vous sentireriez mieux chez vous dans cette base. fit Le Colonel. celle-ci est celle du VSS fergusson et celle d'à coté est celle de la VSS Marie.

les pièces semblable l'une à l'autre, un lit encastré, d'une table large ,un tapis était au sol et de majestueuse armoire en formaient le mobilier. les valises étaient déjà dans les salles respectives.

Mon colonel cria un soldat en arrivant.

le Colonel se retourna comme furieux d'être dérangé mais le soldat semble-t-il l'informa d'une chose qui le plaisait assez bien car son sourire revint rapidement.

- Marie, Fergusson, je suis désolé de devoir vous quitter mais des affaires assez urgentes m'appelles,fit le colonel. Vous pouvez disposez.

puis se tournant vers le lieutenant il dit:

- Karsov veuillez vous assurer qu'ils ne manquent de rien.

- A vos ordres mon colonel.

sur ces mots le colonel partit. et les VSS (virtual special soldier) intégrèrent leur chambres respectives.

avant qu'ils n'eurent fermé leur portes respectives le lieutenant pris la parole.

- Euh, Fergusson, Marie, si vous avez besoin de quelque chose ma chambre est la troisième à droite.

Fergusson s'installa dans sa chambre mais ne pouvait pas nier les bruit de pas précipité dont l'écho résonnait faiblement dans le couloir.

-On m'avait toujours déclaré les militaires comme étant authoritaire et borné, ceux-ci me semblent ne pas coller à la définition que j'en ai. ilssont trop gentils. ce n'est pas normal. mais tant qu'ils payent ce qu'ils me doivent chaque moi cela me suffit.

Dans la command room, la tension était à son comble.

- On a bien mis le prissonier sous étroite surveillance?

c'est fait mon colonel.

bien faite rapeller au hommes que je veux ces jeunes vivants.

ce sera fait mon colonel.